Bonjour est ce que quelqu'un peut m'aider à mettre ce texte au présent et au passé composé merci celle ou celui qui va m'aider je vous mets le texte ci-dessous Salut Françoise,
Je vais bien et toi comment vas-tu ? Beaucoup d'évènements sont passés dans ma vie, Comme la rencontre d'une personne qui a bouleversé tout mon univers. Elle s'appelle Charly, je l’ai vu pour la première fois lorsque je rentrais en bus elle était en train de tagguer une affiche de publicité j'ai tout de suite aimé le geste qu'elle faisait de recouvrir cette affiche de publicité je sentais qu'elle aimait faire ça et que moi aussi je voulais faire comme elle j'ai vu qu'elle eut fait tomber une de ses bombes de peinture dont l’encre recouvrer le panneau publicitaire, j’ai ramasse sa bombe de peinture puis elle s’est retourné pour la prendre de mes mains . J’ai demandé, j’ai pris l’occasion pour savoir, si je peux faire comme elle, au début elle n’était pas d’accord mais je l’ai convaincu et depuis on se retrouvé presque tous les jours c’est comme ça qu’a débuté mon amitié avec Charly.
Charly m’avait fait découvert en moi un sentiment que je ne connaissais pas, un jour je l'invita chez moi pour créer un mini blog antipub, pendant que nous travaillions sur le mini blog, je n'arrête pas de la regarder tellement elle était belle puis au milieu de notre travail, elle se retournait vers moi son visage vers le mien, ses yeux bleu clair dont je rêvais la nuit , je pris son visage entre mes mains et l'embrassa Charlie s'est levé d’un bon Me regarda et bafouilla puis parti je me suis sentie tellement bête que je me cognait la tête contre la porte fermée.
Cet incident a fait que je n'ai pas pu la voir pendant un long moment, Mais un jour j'ai reçu un message, où elle écrit samedi grand opération à Paris la presse est courant, il faut frapper fort on a besoin de tout le monde rendez-vous 14h au point accueil de la gare de Lille Europe je compte sur toi Charlie. j’ai un gros mensonge qui est passé, le samedi je suis parti avec impatience dans la guerre vit l'Europe j'attendais Charlie avec impatience quand elle arrive à la gare elle n’était pas arrivée seule, elle était avec son père des amis 2 filles d'une vingtaine d'années une femme qui avait environ une quarantaine et un grand blond aux yeux verts Charlie m'a fait la bise puis me présenter David avait 25 ans il était grand blond et aux yeux verts qui s’appelai David, puis nous sommes montés dans le TGV une fois dans le TGV je suis parti aux toilettes le ventre parcouru de spasmes si douloureux que j'en ai pleuré une fois sortie, je rejoignis un nouveau la bande David m'a expliqué le programme du jour les stations de métro dans lesquelles comme des centaines de militants venus de France aller casser des pubs.
je me sentais bien dans cette bande de militants anti pub car j'avais l'impression d'être dans le monde que je voulais, une fois que nous étions arrivés à Paris, nous avons commencé à taguer les panneaux publicitaires avec les slogans pollution visuelle, pas de quartier pour les pubs, et autres pubs égal pollution après avoir plongé au fond de mon moral dans le train je me sentis vivant est libre il fallait agir très vite et changer de station le plus souvent possible le fait d'imaginer que d'autres casseurs dans Paris faisait la même chose en même temps me donner un sentiment de toute-puissance.
Charlie à côté de moi me regarder intensément, le monde se résumait à ses yeux Bleus, elle me disait embrasse-moi Hugo, je croyais avoir malentendu mais c'était elle qui le demandait, je trembler j'avais du mal à respirer, j’avança mon visage vers le sien et je l'embrassa puis après ce baiser, elle me dis que c'est un pacte qu'on passe aujourd'hui, elle me demanda de ne pas changer et de ne jamais baisser les bras je lui ai juré puis tout d'un coup policiers en uniforme apparu Charlie me cria de vite partir, je laissa tomber ma bombe de peinture et je me mis à courir mais en regardant derrière moi j'ai vu que les policiers étaient en train de me rattraper puis la seconde après je me suis retrouvée plaquée au sol un des policiers sur moi me donna un coup de pied dans le flanc droit et de douleur j'ai crié enculé le lendemain matin c'est mon père qui est venu me chercher en cellule de dégrisement, même si aux yeux de la loi ce que j'avais fait était considéré comme mal .